Pendant longtemps, la maitrise était un élément commun à l’ensemble des bureaux d’études en F1. La maitrise du calendrier de planification, la maitrise des outils de simulation, aérodynamique ou de conception, la maitrise de la réglementation à chaque évolution validées. Toutefois, depuis l’introduction de l’effet de sol en 2022, les certitudes ont été rudement mises à l’épreuve. Les écuries se sont renforcer dans les domaines techniques clés, amélioration de leur traitement de données, sécurisation des communications, utilisation des technologies de l’intelligence artificielle, sans véritablement répondre au nouveau mode opératoire (UCAV) qu’impose la F1 moderne, seul McLaren a réussit à change sa culture.
Voir la tête des ingénieurs de la Scuderia Ferrari après la course de Barcelone, ou l’incompréhension et la résignation était visible sur les visages, pouvait intérroger. Depuis Imola, le bureau d’étude accélère sa planification pour rendre plus performante la SF25. Pourtant, à Barcelone, le saut qualitatif n’a pas été perçu. En interne, Lewis Hamilton demande d’abandonner la plate-forme actuelle pour rester concentrer sur le modèle 2026, hautement stratégique. Pourtant, personne ne semble abandonner à Maranello. Pourquoi ? Fred Vasseur estime que les erreurs de développement de la SF25, seront utiles, car ne devant plus être reconduit pour l’avenir. En cela, Vasseur et Ferrari tente une approche, sans évoluer pleinement.
Découvrir la suite en vous abonnant gratuitement à la Newsletter Poursuit en cliquant ici